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Inventaire de la biodiversité Communale (2017)

 

La commune a fait réaliser avec le concours de la SEPANT* un inventaire de la biodiversité communale de 2016 à 2018 par des observateurs spécialistes de la botanique, des batraciens, des insectes et des oiseaux.

Le résultat est plutôt intéressant compte tenu de la faible superficie de la commune : plusieurs espèces menacées ou rares sont présentes et révélatrices du bon état de préservation des milieux (7 espèces de tritons et grenouilles, 60 espèces d’oiseaux, 37 espèces de papillons, 21 espèces de sauterelles et 200 espèces de plantes).

Des fiches-actions ont été réalisées, elles permettront de mettre en place une politique appropriée pour la gestion communale des espaces et des espèces.

L’opération a consisté à réaliser des inventaires de la faune (oiseaux, mammifères, amphibiens, reptiles, insectes, …) et de la flore présente sur le territoire communal.

Cette action a permis de remplir plusieurs objectifs :

  • Prendre en compte les enjeux de biodiversité dans les futurs projets de la commune ;
  • Identifier les pistes de valorisation de la biodiversité comme atout d’attractivité ;
  • Sensibiliser les habitants sur la reconnaissance et l’intérêt de la préservation de ce patrimoine naturel.

*SEPANT : Société pour l’Étude et la Protection et l’Aménagement de la Nature en Touraine. Contact : sepant chez wanadoo.fr

La mare à libellules

Préconisée dans l’inventaire communal de la biodiversité, une mare a été aménagée dans le bois du château au printemps 2019. Il manquait une zone humide dans cette partie de la commune, très utile à la vie des libellules, une espèce menacée, mais aussi des grenouilles, crapauds ou salamandres.

 Une pancarte signale la présence de cette zone humide pour sensibiliser les promeneurs. - JPEG - 307.6 ko
Une pancarte signale la présence de cette zone humide pour sensibiliser les promeneurs.

La présence de ces batraciens est un marqueur de qualité du milieu naturel. Ils ont besoin d’un point d’eau même limité en surface pour y pondre et s’y reproduire entre février et avril. Ils ne peuvent pas le faire en rivière car leurs oeufs sont dispersés et mangés par les poissons.

Ensuite sur environ 3 mois les œufs éclosent et les embryons se développent pour quitter la mare et se disperser dans le milieu naturel.

La mare peut donc être très réduite voire à sec en fin d’été sans conséquences pour ces espèces.

Les documents attachés

pdf

Bilan inventaire de la biodiversité

Document PDF - 18.8 Mo - Publié le 27 mai 2019
 
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